jeudi 26 juin 2008

Grossissement des Seins


Depuis un certain temps, précisément lors de la visite de la troupe théâtrale ivoirienne "Ma famille", un phénomène inhabituel s'est remarqué dans l'aspect physique de la jeune fille congolaise en général, et kinoise en particulier, c'est celui du grossissement des sein.

Il se chuchote que les jeunes filles recourent à certaines pratiques ancestrales, à l'usage de tel ou tel produit pour grossir les seins en vue de les exposer à la vue de tout le monde sans pudeur: certaines autorités acceptent cette attitude qui n'est pas le propre des congolaises et terni ainsi notre image. Ces filles oublient que notre corps est un temple du saint esprit, il faut le valoriser.

En exposant les seins, leurs jeunes filles se laissent elles-mêmes violer et violentent les hommes. Nous, élèves, nous pensons qu'il est temps de mettre fin à cette pratique et de garder notre dignité, notre personnalité, car la femme est la source de la vie, receptacle de la vie et est tenue à se respeceter.

Prestige du téléphone au secondaire


Actuellement, le portable est un moyen d'entretenir mensonges, escroqueries, mais aussi les contacts entre individus. Il est devenu un moyen de se faire valoir, s'affirme chez les adolescents qui veulent en avoir à tout prix. Dès lors certains n'hesitent pas à offrir leurs corps à n'importe qui, n'importe où.

Certains jeunes arrivent même jusqu'à voler leurs parents d'importantes sommes d'argent pour en avoir, par contre d'autres se trouvent dépaysés parce qu'ils en manquent. Avec l'évolution de la science, qui devient de plus en plus performante, les jeunes veulent être à la page, donc avoir un portable de technologie récente. les medias ont la charge d'aider la jeunesse africaine, plus particulièrement congolaise à savoir se contenter de ce que possèdent leurs familles.

Ils doivent s'ajouter à côté des agents traditionels de l'éducation qui sont à la famille, les groupes des jeunes, lEglise et l'Etat. Leur rôle aujourd'hui et demain ne pas à négliger aux éducateurs de les prendre plus au sérieux.

mercredi 25 juin 2008

30 conseils aux femmes mariées



TRENTE CONSEILS AUX FEMMES MARIEES

Ce règlement du mari a été établi par maman Marthe DEPURENEZ. Celle-ci est morte à l’âge de 104 ans et a fait 82 ans sous le toit conjugal et dit : « je sais que les jeunes filles ne seront pas d’accord avec moi », mais celle qui mettra en pratique ce règlement sera la femme la plus heureuse de toute et fera un bon foyer sauf incompréhension des deux conjoints. A vous de juger et voir si c’est applicable.

Article 1er : Le mari à toujours raison.
Article 2 : Le mari est toujours le chef de la famille même s’il ne travail pas.
Article 3 : La femme avant de se coucher doit demander la permission au mari, aussi avant de lui tourner le dos.
Article 4 : Si le mari porte la main sur la femme et qu’arrive un visiteur, celle-ci doit sourire comme si rien ne s’était passé.
Article 5 : Le mari reste toujours le chef et dirige les opérations même au lit.
Article 6 : Même si la femme a raison, l’article 1er s’applique.
Article 7 : La femme avant de se coucher doit être avec sa robe de nuit, laissant porte ouverte à toutes éventualités du mari.
Article 8 : Le mari n’a jamais menti, mais éclaircit.
Article 9 : Quand le mari gronde, la femme reste débout et fixe sans rien dire.
Article 10 : La femme doit toujours attendre le mari avant de prendre une décision.
Article 11 : Le mari ne rentre jamais en retard, il est en réunion de service.
Article 12 : Le mari ne sort jamais pendant le jour de repos, il est appelé en conseil de famille.
Article 13 : La femme attend son mari avec ses idées personnelles et prend celles de son mari quand celui-ci est de retour.
Article 14 : La femme ne se rend au bureau du mari que pour un cas urgent ou sur invitation de ce dernier.
Article 15 : La femme ne doit jamais faire des dépenses sans consulter le mari même si c’est son propre argent.
Article 16 : La femme ne doit pas beaucoup travailler la journée de peur de se fatiguer rapidement la nuit.
Article 17 : Les disputes doivent toujours se régler à deux dans la maison sans témoin et à l’avantage du mari.
Article 18 : La femme ne doit jamais refuser de manger même si elle est en colère.
Article 19 : La femme n’a pas d’ordre à donner son mari, mais le reçoit de celui-ci.
Article 20 : La femme doit respecter les ordres du mari à la lettre.
Article 21 : La femme ne doit limiter sa jalousie et ne jamais la manifester en public.
Article 22 : La femme ne doit rendre visite à ses parents et à sa belle famille que sur demande du mari et des fois en compagnie de ce dernier.
Article 23 : La femme ne peut sortir que sur l’autorisation préalable du mari.
Article 24 : Seule la femme peut prendre crédit et avec un carnet de pharmacie les médicaments.
Article 25 : Si le père ou la mère (belle-famille) venait à la maison, lance des paroles odieuses, la femme ne peut rien faire et attendre la réaction de son mari.
Article 26 : La femme ne doit jamais écouter les on dit.
Article 27 : La femme doit toujours se considérer comme élément complémentaire sans avis et non son égal, et l’homme ne peut considérer sa femme comme son adversaire.
Article 28 : La femme doit recevoir tous les visiteurs de son mari sans exception de sexe et avec grande politesse.
Article 29 : La femme n’a pas de rivales mais les amies de son mari.
Article 30 : La femme doit connaître les quatre opérations fondamentales que voici + - X : , c’est-à-dire elle doit savoir calculer.

Les femmes ne s'aiment pas


Les femmes ne s’aiment pas

Parmi les causes qui font traîner le processus de l’émancipation de la femme dans notre pays, il faut citer le fait que cet idéal a pris une orientation trop extérieure et superficielle de la participation significative des dames dans les instances de direction. Il nous semble qu’un travail préalable de fond reste à entreprendre pour l’efficacité de la démarche. C’est celui que nous amorçons à travers la présente réflexion, en rappelant l’absence de solidarité entre les femmes que nous symbolisons en l’énoncé qui fait office de titre « les femmes ne s’aiment pas ». Comment le constatons-nous ?

Les femmes s’évitent

Notre thèse est la conclusion d’une observation de plusieurs faits que nous synthétisons en sept constantes.

1°. En famille, il y a de conflits entre les filles et leurs mères que entre les garçons et leur papa. On sait que depuis l’adolescence, le climat entre les jeunes et leurs parents ne ressemble plus du tout à l’accalmie de l’enfance. Il y a problème de part et d’autre. Mais c’est comme si du côté des femmes il y a beaucoup plus de difficultés. En tout cas, le conflit des générations est plus intense dans le monde féminin que dans le monde masculin.

2°. Quand elles grandissent, les filles préfèrent avoir des amis garçons plutôt que des filles. Car, déclarent-elles les garçons sont plus discrets et problématiques que les filles.

3°. Dans le même sens, les femmes préfèrent se faire conseiller par les hommes plutôt que les femmes. Pour preuve, dans la pastorale, par exemple, les femmes viennent nombreuse se confier aux prêtres et évitent les sœurs religieuses. Même sur des dossiers où ces dernières les aideraient mieux parce que femmes, elles en parlent volontiers aux prêtres. Et quand on les oriente vers les sœurs, elles refusent ou fuient carrément cette activité pourtant importante pour leur croissance et maturation.

4°. Quand une fille accuse son beau-frère ou son père de harcèlement, sa grande sœur sa mère ne la croient pas. Elles condamnent la pauvre et innocente victime pour donner raison à leur bourreau de mari incontinent.

. Dans les mariages, la mère du mari est souvent en conflit avec sa belle-fille tout comme les sœurs de l’époux rivalisent avec leur belle-sœur.

6°. Dans le secteur de la santé, les gynécologues femmes sont les moins consultées. Beaucoup de dames préfèrent se faire consulter par les hommes. La même méfiance est affichée à l’endroit des sages femmes que les dames qui accouchent accusent d’être moins attentives face à leurs plaintes à cause des douleurs d’enfantement, alors que ces accoucheuses estiment que les dames exagèrent toujours.

7. °Les femmes supportent plus facilement d’être dirigées par un responsable homme plutôt que par une cheftaine. Quand on leur demande les raisons de ce choix, elles répondent : « une femme comme leader devient orgueilleuse et hautaine » ; vices que le chef masculin ne manque pas d’incarner aussi. Mais les femmes subalternes, c’est encore supportable de les voir incarnés par un homme plutôt que par une femme. N’est-ce pas pour cela que lors des élections présidentielles et législatives passées (2006) les femmes congolaises (pour qui on a voté la loi de la parité dans la constitution de la troisième république) ont tout simplement refusé de faire confiance de leurs sœurs candidates à ces postes de direction ? Sans doute, les femmes s’évitent et préfèrent les hommes. Tirant leçon de ces faits, notre sagesse africaine conclut : « Basi batongaka mboka te » (entendez : les femmes seules ne peuvent pas constituer une société stable). En blaguant, les commentateurs traducteurs en lingala des films anglophones nigérians ajoutent : c’est pourquoi il n’existe pas des femmes maçon. Mais pourquoi les femmes se détestent-elles jusqu’à ce point.

Essai de compréhension

Pour expliquer cette tendance féminine, on est tenté d’évoquer la loi naturelle très connue : les forces de même charges opposées s’attirent. C’est-à-dire qu’on croit que les femmes s’évitent à cause de l’attrait que les pulsions effectives exercent sur elles les attachant aux hommes, attrait qui fait défaut entre personne de même sexe. Il y a un peu de cela. Mais en comparant ce qui se fait chez les hommes qui, tout en étant aussi soumis à la même loi, se comprennent et s’acceptent plus facilement, il faut dire qu’il y a chez les femmes plus que les effets de cette loi. Car la même loi n’amène pas les hommes à se repousser de la même manière. Il y a donc comme une pathologie comportementale que nous traduisons par la formule : « les femmes ne s’aiment pas ».
En effet, il faut remarquer une réelle volonté de s’éviter mutuellement d’une crise de confiance entre les femmes. Le fond de tout cela est jalousie, on sait que la femme comme un être de sentiment plus que des raisons subit l’effet de la jalousie plus que l’homme. Elle n’aime pas voir l’autre complimentée plus qu’elle m’aime. Elle veut être exaltée. C’est ce qui justifie sa grande tendance à soigner exagérément son apparat extérieur. On voudrait pour preuve le réflexe de maquillage ou de saupoudrage que l’on observe partout et qui dépasse les limites de l’âge, la démarche extravagante et dandinante devant un groupe d’homme en face d’une rivale, pourquoi l’accoutrement quasi dénudé des filles de nos jours.
Par conséquent, il y a manque de solidarité entre femmes dans les domaines essentiels, lesquelles ont du mal à lutter ensemble sans que les hommes viennent les épauler. Et pourtant dans le contexte de la recherche des voies et moyen pour l’émancipation, il faut un travail d’ensemble qui libère la femme de l’emprise de l’homme. Si cette tendance continue, on ne peut pas réussir cette libération. Il faut donc changer. Pour aider les femmes à y remédier, voici quelques pistes de solution.

Piste de solution

Globalement, la solution à ce problème de la méfiance entre femmes est la promotion de la solidarité féminine qui fait défaut. Celle-ci suppose un effort d’aimer les femmes plus que les hommes. Car, de même que nous ne pouvons pas prétendre aimer Dieu que nous ne voyons (1jn 4,20), de la même manière aussi une femme ne devrait pas prétendre aimer l’homme masculin qui lui est différent quand elle ne sait pas aimer comme il se doit la femme qui lui est semblable. Son premier prochain c’est l’autre femme qui lui ressemble. Plus concrètement, il s’agit d’abord de témoigner à leurs semblable féminins la même douceur, la même tendresse et le même sens de compréhension affichés jusque là envers les hommes.

Il faut même plus. Les femmes doivent aimer prioritairement les femmes et renvoyer leur amour des hommes au second lieu. Il faudra, ensuite, travailler à relativiser la culture de l’extérieur qui fait soigner l’apparat quand parfois l’intérieur est vide ou sale. En lieu et place il faut développer l’intériorité. Il s’agit d’une intériorité pas pour rêver ou construire des châteaux en Espagne (la femme est prédisposée à cela). Il faut procéder comme la vierge Marie, la Mère de Jésus qui « gardait et méditait dans son cœur tout ce qu’elle voyait et vivait » (Luc 2,19.51).

Méditer c’est comprendre davantage, voir plus clair et réfléchir, avant de contempler et aimer comme il se doit, par la suite. Cela suppose aussi et enfin une culture de rationalité pour atténuer le poids des sentiments. Les femmes doivent d’avantage exploiter l’intelligence. Dans ce sens il faut soutenir la tendance actuelle des filles pour les études universitaires, espérant qu’elles produisent des femmes rationnelles que sentimentales. Pour soutenir leurs efforts, c’est ne pas inutile de rappeler qu’une certaine solidarité existe déjà avant la protection de nudité féminine et mérite d’être étendue. En effet toute femme est gênée de voir une autre dénudée. Elle court lui jeter un habit au corps pour la couvrir.
C’est une telle solidarité qu’il faut, plus forte que celle entre les fumeurs. Mais est-elle encore vraiment efficace quand on observe, d’une part, l’accoutrement de nos petites sœurs de certaines de nos mères aujourd’hui et surtout, d’autre part, l’indifférence des autres femmes.

Conseil

Chères sœurs, mères et grand-mère, il faut une très grande solidarité entre vous pour mener le combat de l’émancipation. C’est un vrai combat qu’aucune femme ne peut réussir toute seule ou que l’ensemble de femmes ne peut mener en ordre dispersé. Pour y parvenir aimer d’abord les femmes avant de nous aimer, nous les hommes. Vous serez plus équilibrées et plus indépendantes de nous. Et vous aurez la chance de vous émanciper plus facilement.
Mais si vous continuez à vous entretuer comme d’habitude, oubliez l’émancipation. Ce serait un idéal creux et trop illusoire. Car les moyens que vous utilisez pour y arriver sont inefficaces, contradictoires et autodestructeurs.


Hervé BAMPAKA

Le mensonge des jeunes


Il est vrai que nous fréquentons les milieux publics dans notre vie quotidienne, nous créons des relations les uns les autres pour qu'il y ait équilibre dans la vie.

Chacun de nous est responsable de ces actes: la façon dont je me comporte à l'égard des autres et ma façon de vivre avec eux, et surtout la manière de m'adresser aux autres , pendant nos conversations.Mentir c'est un mot qui ajoute une note négative dans la vie de tous les jours. Quand ce mot arrive à primer sur les autres vertus, c'est fond une chose que l'on doit bien voir et soigner.

La vie humaine n'est plus prise au sérieux par certain,es personnes, elle est menée comme une pièce de théâtre, soit on réussit ou bien on perd grâce au mensonge.


Les mensonge s'oppose à la Vérité


Il est déplorable de découvrir que certaines personnes sont championnes du mensonge. Sans gêne ni honte, quand elles se mettent à mentir, elles ne tiennent pas compte de leur rang et se rendent ridicules même pour des banalités. De pareilles gens vivent de manière contradictoire: la vérité, c'est le mensonge et le mensonge c'est la vérité. Ici il ne s'agit pas d'évoquer le mauvais usage de téléphone car, la plus part des gens se cachent celui-ci pour pour justifier leurs mensonges.Mais la réalité c'est que l'on est déjà un vrai menteur et le téléphone ne sert qu'à l'expression de ce qu'on est. Disons par exemple que vous êtes à la maison et quelqu'un vous donne un coup de téléphone afin de vous localiser, peut-être parce qu'il a besoin de vous rejoindre, et que vous lui dites que vous êtes au service; ce n'est pas le téléphone qui a menti; mais c'est bien vous même qui l'avait fait intentionnellement.Le téléphone n'est qu'un instrument qui vous a aidé à exprimer votre nature mensongère.

Ecoutons le défunt artiste Charles Mombaya d'heureuse mémoire dans "Allo! Téléphone". Il ne condamne pas les utilisateurs du téléphones ni les propriétaires, mais dans son aperçu général, il nous présente les bienfaits et les méfaits du téléphone.

Il parle en grandes lignes des aspects positifs et négatifs du téléphone comme moyen de communication. Et il nous revient d'en faire bon usage.Aujourd'hui, il n'est pas possible pour certaines gens de passer toute une journée sans toutefois sortir des mensonges de leur bouche. En quelque sorte, le mensonge a pris de l'ampleur au point que pour eux, il devient une fonction vitale, comparable à la respiration, et d'ailleurs, on le dit souvent: "Il ment comme il respire!" Avec toutes les bonnes manières possibles , il est normal qu'une personne , un être humain se trompe, mais pas qu'elle mente, parce que sa conscience ne le laissera pas tranquille. On peut corrompre sa conscience te mentir tout bonnement, mais sachez qu'agir tromper soi-même, car tôt ou tard, la vérité finira par se faire savoir.

Cette culture peut se transmettre aussi par la mauvaise influence des autres, dans notre entourage ou encore dans nos lieux de service. Ne dit-on pas que si vous arrivez dans un village où la danse commence par le pied gauche, il faut emboîter le pas? C'est ne pas un adage justifiant de nos mensonges, mais c'est bien souvent de cette façon que l'on tient à se défendre lorsque l'on est découvert par la suite comme étant menteur.

Ainsi certains diront: "Dans notre service pour avoir une chose il faut mentir, pour avoir une permission, il faut chercher un prétexte", "dans notre école (classe) pour avoir des points et passer dans la classe supérieure, il faut mentir, tromper les professeurs", "pour justifier sa médiocrité il faut se référer à ce qui est déjà médiocre!".Où allons-nous, quand le mensonge prend la place de la vérité dans notre vie?


Conseil


Cher jeune, papa, maman, vous ne savez pas que le mensonge est un vice? Le mensonge détruit les rapports interpersonnels, apprenez désormais à ne rien dire que la vérité, la vérité a toujours été une source de grande cordialité. Ainsi vous vivrez paisiblement non seulement avec Dieu mais aussi avec les autres et surtout avec toi-même.Hervé Bampaka Ngila.